Meilleur long-métrage de fiction
LA VOIX D’AIDA de Jasmila Žbanic (Bosnie-Herzégovine)
« D’abord dire que nous avons assisté avec ces 7 longs métrages à très beaux portraits de femmes.
Ce grand prix récompense un film extrêmement maîtrisé.
Il y a d’abord une histoire : une histoire forte, l’histoire d’une femme qui se bat,
Et puis à la fois une mise en scène, une direction d’acteurs, une interprétation de l’ensemble des acteurs
Qui nous ont touchés.
Et ce qui fait la force du film, c’est qu’il pourrait être universel, cela pourrait se passer dans n’importe quel pays.
La réalisatrice a su nous toucher, nous émouvoir, et c’est quand même important lorsqu’on parle d’art d’être ému, et touché. »
Le jury
A THIEF’S DAUGHTER de Belén Funes (Espagne)
ZANA de Antoneta Kastrati (Kosovo/Albanie)
Meilleur long métrage documentaire
I LOVE YOU I MISS YOU I HOPE I SEE YOU BEFORE I DIE d’Eva Marie Rødbro (Danemark)
RADIOGRAPHIE D’UNE FAMILLE de Firouzeh Khosrovani (Norvège, Iran, Suisse)
Meilleur premier film de la section Héritage
LEUR ALGÉRIE de Lina Soualem (France/Algérie)
Meilleur court métrage francophone
Meilleur court métrage
TROIS FEUILLES d’Éléonore Coyette et Sephora Monteau (Haïti, Belgique)
« Un regard touchant et humain qui offre un point de vue courageux et nous permet de découvrir autrement un territoire comme Haïti. Une prise de risque importante et originale, l’usage des marionnettes nous entraîne avec justesse entre la violence et l’espoir des femmes. Un regard lucide, bouleversant, réaliste sur une question difficile à raconter qui, à travers un imaginaire riche et complexe, permet de retrouver l’espoir dans une sororité universelle. »
Le jury UPEC
« Le Jury a été touché par cette thématique forte et nécessaire, par la façon dont vous avez mis en lumière ces destins de femmes brisés par la violence et l’injustice en Haïti.
Nous avons relevé les qualités de votre dispositif de mise en scène, l’animation des marionnettes, qui permet de dénoncer sans pathos le tragique de votre récit.
Le Jury a également apprécié le traitement visuel de votre film, dont les astuces et les trouvailles rendent la réalisation attachante.
Vous avez su enfin, malgré la brutalité du sujet, trouver un ton délicat et juste.
Bravo encore à vous deux ! »
Le jury INA, Hélène Lassailly, Zoé Laboue, Laure Schortgen, Fabrice Blancho, Jean-Claude Mocik
Meilleur long métrage de la section Jeune Public
A REGULAR WOMAN de Sherry Hormann (Allemagne/Turquie)
« Nous avons particulièrement apprécié la mise en scène, la voix off qui donne de nouveau une voix à la protagoniste et le jeu incroyable des acteurs et des actrices.
Le fait que le film soit un compte rebours nous a beaucoup plu et ce film, inspiré d’une histoire vraie, prend des risques et le fait bien pour mettre en lumière une cause sous représentée.
Les photos d’archives ajoutent de la valeur à l’histoire et accentuent la dimension prenante et captivante du film.«
Le Jury Graine de cinéphage
Lizea JOLIVET, Éloïse MEZY DE HARO, Margaux PREVOST, Delia SASSI, Lycée Léon Blum (Créteil)
Aubin BATICLE, Léonard SCHLAFMUNTER, Cassandre SEGURA, Mathys WILLEME, Lycée Guillaume Budé (Limeil-Brévannes)
LA SŒUR JUMELLE de Ouiza Sefiane
« Pour l’originalité de son propos et sa capacité à nous projeter dans des genres cinématographiques multiples. »
SALE TEMPS POUR LES CANARDS de Gérald Royer
« Pour son scénario très abouti qui témoigne d’une maîtrise des moyens d’expression propres au cinéma. »
« Le Jury de scénario Images de ma Ville a eu beaucoup de plaisir à lire l’ensemble de ces aventures cristoliennes qui présentent de grandes qualités d’écriture. Nous avons été sensibles au choix des sujets qui résonnent avec l’actualité.
Le Jury remercie les participant.e.s et les encourage à explorer d’autres chemins d’écriture hors des sentiers battus en n’ayant pas peur de leur singularité.«
Géraldine Cance, attachée de presse, Pascale Diez, cinéaste, Marianne Pattou, directrice de la Culture ville de Créteil, Corinne Turpin, programmatrice au cinéma La Lucarne de Créteil